Chute de cheveux chez la femme : quelles sont les vraies causes ?

Une chevelure qui s’affine, des poignées de cheveux retrouvées dans la brosse ou sous la douche… La chute de cheveux chez la femme est un phénomène bien plus fréquent qu’on ne le pense. Et contrairement aux idées reçues, elle n’a rien de superficiel.

Avant d’être une marque, Lazartigue est un nom : Jean-François Lazartigue, le ‘coiffeur en blouse blanche’, qui ouvrait il y a 50 ans le centre de traitement du cheveu à Paris. Un salon pas comme les autres, entièrement dédié au soin de la fibre et du cuir chevelu. Très tôt, Jean-François Lazartigue comprend que le cheveu ne se réduit pas à une matière morte qu’on coupe ou qu’on colore, mais qu’il est comme une matière vivante, sensible, complexe, profondément connectée à ce que nous sommes. 

Aujourd’hui, Lazartigue perpétue cette vision radicalement moderne du soin capillaire. Une approche qui conjugue science et nature, innovation et respect : parce qu’un cheveu en bonne santé, c’est un cheveu qu’on écoute, qu’on comprend et qu’on soigne — comme un être vivant.
Stress, accouchement, carences, bouleversements hormonaux… Plusieurs facteurs peuvent déséquilibrer le cycle capillaire. Comprendre ces causes est la première étape pour agir efficacement.

Le cycle capillaire : quand tout se dérègle

Le cheveu est un véritable révélateur de notre état intérieur. Le stress, les carences, les variations hormonales, l’inflammation : tout cela impacte la pousse, la chute ou l’aspect du cheveu.
Le cheveu pousse selon un cycle naturel en trois phases : croissance (anagène), repos (catagène), puis chute (télogène). En moyenne, une femme perd entre 50 et 100 cheveux par jour — c’est totalement normal.
Mais lorsque ce nombre augmente, dure plus de trois mois, ou s’accompagne de zones clairsemées, la chute devient pathologique. Et les causes sont souvent multiples et silencieuses.

Le stress : une chute brutale et diffuse

C’est souvent la cause qu’on identifie le plus simplement. Le stress — qu’il soit émotionnel ou physique — déséquilibre le système hormonal et favorise la libération de cortisol, une hormone qui perturbe la vascularisation du cuir chevelu.
Résultat : les follicules entrent trop tôt en phase de repos, entraînant une chute soudaine, mais réversible appelée « effluvium télogène ». Bonne nouvelle : en éliminant la cause, la repousse est possible.
Le bon réflexe : le sérum anti-chute STRONGER est spécifiquement destiné à la chute ponctuelle en réaction à des facteurs externes temporaires. Sa formule à 97% d’ingrédients d’origine naturelle, incorpore d’un complexe synergique ultra-concentré qui fortifie le cheveu et freine sa chute. Les cheveux sont plus forts et plus denses ; la chute temporaire est freinée. 

Les carences (fer, zinc, biotine) : l’ennemi silencieux

Une alimentation déséquilibrée ou un trouble digestif peuvent entraîner une carence en fer, zinc, vitamines B, ou biotine — tous essentiels à la pousse du cheveu.
Résultat : le follicule n’a plus le carburant pour fonctionner. La chute est diffuse, parfois accompagnée de cheveux ternes et cassants. Un bilan sanguin peut être nécessaire pour déterminer l’origine et l’ampleur de ces carences.
Le bon reflexe : le complément alimentaire Boost, disponible sous forme de gélules ou aide à prévenir la chute de cheveux progressive, en associant la puissance d'extraits botaniques à un complexe minéral et vitaminique. 

Le post-partum : une chute hormonale attendue (mais redoutée)

Après l’accouchement, les hormones chutent brutalement, mettant fin à la « grâce capillaire » de la grossesse. Cette chute post-partum atteint environ 1 femme sur 2, entre 2 et 4 mois après la naissance.
Elle est impressionnante, mais normalement temporaire : les cheveux tombés sont ceux qui auraient dû tomber plus tôt. 
Le bon réflexe : on peut en limiter les effets de la période post-accouchement avec le sérum anti-chute Stronger, en renforçant les cheveux dès la racine grâce à l’action anti-chute d’une synergie d’actifs d’origine botanique : la Kapilarine™ et le Capixyl™.  

La ménopause : une chute hormonale qui s’installe dans le temps

Vers 45-55 ans, la baisse des œstrogènes modifie la répartition des hormones androgènes. Cela peut provoquer une alopécie androgénétique féminine, une chute lente, progressive, souvent au niveau de la raie.
Le bon réflexe : Le sérum Thicker est efficace dès 8 utilisations. La formule vegan du sérum densifiant pour cheveux , à 97% d’ingrédients d’origine naturelle, est composée d’un complexe synergique ultra-concentré qui favorise l’ancrage du cheveu et freine sa chute. Les cheveux sont plus forts et plus épais ; la chute progressive est retardée. 
Une étude clinique sur 60 volontaires, pendant 1 mois et 3 mois en application 1 fois par jour à 2 fois par semaine, a permis de faire repousser +10488 cheveux en moyenne.

Comment agir naturellement et efficacement ?

La chute de cheveux chez la femme n’a rien d’anormal, mais elle n’est jamais anodine. Stress, hormones, carences… autant de signaux que le corps envoie. En comprenant l’origine du déséquilibre, vous pouvez choisir la solution la plus adaptée. La bonne nouvelle : on peut agir sur la chute, qu’elle soit hormonale ou réactionnelle, à condition d’être régulier, et retrouver des cheveux plus forts, plus sains, durablement ancrés.