Après 30 ans, vos cheveux vous quittent (et ce n’est pas un hasard)

À 30 ans, on est souvent au top de la forme… Est-ce également le cas pour vos cheveux ? Il n’est pas rare de constater que les cheveux sont plus fins, la masse capillaire moins couvrante, voire une chute de cheveux plus régulière. C’est courant, et surtout, ce n’est pas un hasard.
Alors pourquoi vos cheveux vous quittent-ils à cet âge ? Et surtout, comment inverser la tendance ? On vous explique tout.

Le lien entre âge et chute de cheveux : ce que dit la science

Nous perdons en moyenne entre 50 et 100 cheveux, parfois un peu plus au printemps et à l’automne et tandis que certains tombent, d’autres poussent : en théorie, chute et repousse s’équilibrent. Le cycle capillaire est régi par trois phases, croissance (anagène), repos (catagène) et chute (télogène) : avec l’âge, et notamment à partir de 30 ans, la phase de croissance se raccourcit, tandis que la phase de chute s’allonge. Résultat : la chevelure se renouvelle plus lentement.
D’autres phénomènes physiologiques se cumulent à partir de 30 ans : la production de kératine diminue, le cuir chevelu devient plus sensible et moins vascularisé, des déséquilibres hormonaux peuvent apparaître, surtout chez les femmes (arrêt de pilule, post-partum, préménopause…).
Et si votre patrimoine génétique inclut une prédisposition à l’alopécie androgénétique, soit une perte de cheveux persistante, les premiers signes vont se manifester de manière nette justement autour de 30-35 ans.

 Les signaux d’alerte à ne pas ignorer

•    Une masse capillaire moins couvrante, une queue de cheval plus fine
•    Des cheveux moins volumineux, plat au niveau des racines
•    Une raie qui s’élargit progressivement
•    Une chute persistante depuis plus de 3 mois, des cheveux en surnombre sur votre oreiller, votre brosse à cheveux, dans la douche…
•    Un cuir chevelu plus visible ou des zones clairsemées

Ce que vous pouvez faire sans attendre

1. Identifiez la cause

S’agit-il d’une chute ponctuelle, liée à un stress, un état de fatigue général, un changement de saison, ou bien une chute continue, au-delà de 3 mois ? Vous pouvez également consultez un dermatologue ou médecin trichologue (spécialiste du cheveu) si la chute est soudaine, importante ou localisée. En parallèle, analysez vos routines : stress, alimentation, carences éventuelles… tout cela peut avoir un impact.

2. Adoptez des soins ciblés

Chez Lazartigue, nous avons développé différents protocoles anti-chute selon les besoins, associant shampoing, sérums et compléments alimentaires, pour agir selon la nature de votre chute. Les sérums, à appliquer au niveau du cuir chevelu, sont le cœur du dispositif. 

•    Stronger Hair Serum est conçu pour stopper une chute ponctuelle, en réaction à des évènements externes (stress, fatigue, post-partum…)

•    Thicker Hair Serum : s’attaque aux conséquences d’une chute persistante, d’origine génétique, pour relancer la repousse et redonner de la densité

Les 2 sérums s’inscrivent dans un protocole de soin complet, incluant compléments alimentaires et shampoing ciblé. Tous les soins Lazartigue sont formulés avec jusqu’à 97 % d’ingrédients d’origine naturelle, sans sulfates, ni silicones.
Depuis plus de 50 ans, les laboratoires Lazartigue ont fait de la chute des cheveux une priorité de recherche. Jean-François Lazartigue, ‘coiffeur en blouse blanche’ ouvrait à Paris en 1976 le 1er centre de régénération capillaire. Microscope en main, à l’écoute de la clientèle du centre, il étudiait la fibre, ‘écoutait’ le cuir chevelu, créait des soins naturels et personnalisés en utilisant des actifs botaniques aux résultats objectivés. La gamme anti-chute Lazartigue perpétue aujourd’hui cette vision en s’appuyant sur les découvertes les plus récentes en matière de formulation de soins capillaires. 

3. Stimulez la repousse en douceur

En plus d’adopter une routine anti-chute complète (sérum, shampoing fortifiant, compléments capillaires), massez régulièrement le cuir chevelu pour le stimuler, et soyez constant·e : il faut agir 3 mois afin de cibler les cheveux à différents stades de leur cycle. On ne peut pas envisager de résultats visibles et durables sans y accorder le temps nécessaire.

Passé 30 ans, vos cheveux ont besoin d’un nouveau type d’attention. Ce n’est pas une fatalité : c’est un changement à accompagner. En comprenant les causes et en adoptant les bons gestes, vous pouvez conserver (et même restaurer) une chevelure forte, dense et saine.